Ecologia Mediterranea / Université Paul Cézanne (Aix-Marseille) Faculté des sciences et techniques de Saint-Jérôme . 39 (1)Mention de date : 2013 Paru le : 01/01/2013 |
[n° ou bulletin]
Gauquelin, Thierry (1954-), Dutoit, Thierry (1967-)
2013
Actes du IVe Colloque international sur le Genévrier thurifère : 5-8 octobre 2011 Mont-Dauphin et Saint-Crépin (Hautes-Alpes, France).
Ecologia Mediterranea, 39(1). 218 p.
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R12455 | P-83 | Revue | Centre de documentation | Bibliothèque | Consultable |
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[article]
Titre : Quel avenir pour la thuriféraie pyrénéenne de la montagne de Rié (Marignac, France), après l’incendie de 2003 ? Suivi de la structure et de la dynamique de la population Type de document : Imprimé Auteurs : Jocelyne Cambecèdes ; Philippe Samhat ; Delphine Fallour-Rubio ; Fabien Candy ; Thierry Gauquelin (1954-) Année de publication : 2013 Article en page(s) : 81-88 Langues : Français (fre) Mots-clés : Juniperus thurifera L., 1753 Résumé : La plus importante population de Genévrier thurifère du versant nord-pyrénéen est située à la montagne de Rié, commune de Marignac, en réserve biologique forestière, et incluse dans le site Natura 2000 : «Zones rupestres xérothermiques du bassin de Marignac, Saint-Béat, Pic du Gar, Montagne de Rié. » Elle fait l’objet d’un suivi depuis 2001. L’état des lieux initial a conduit à cartographier les arbres et à décrire la structure de la population. Après l’incendie accidentel qui a ravagé la thuriféraie en 2003, le suivi s’est attaché à caractériser l’impact du feu, la reprise des genévriers dans la thuriféraie pure et la dynamique du genévrier dans la thuriféraie mixte. L’inventaire de la thuriféraie pure, renouvelé tous les deux ans depuis 2004, montre que seuls 20% des arbres ont survécu à l’incendie. En 2010, 1 255 Genévriers thurifères ont été répertoriés au total, dont 994 individus préexistants à l’incendie et 261 jeunes plants issus de germination après l’incendie de 2003. Leur localisation dans la thuriféraie et par rapport au pied femelle le plus proche est précisée. La structure d’âge de la population est illustrée par la répartition des arbres en classes de diamètre basal. Avant incendie, la structure de diamètre de la thuriféraie pure était révélatrice d’une structure multi-âge classique des communautés forestières d’habitats non perturbés. En 2004, l’effondrement aléatoire de la distribution témoigne de l’impact de l’incendie. L’émergence des jeunes plantules à partir de 2006 se traduit par une fréquence élevée d’individus de faible diamètre. L’étude de la dynamique de la végétation sur les placettes montre une progression importante des essences arborées et arbustives autres que le Genévrier thurifère, notamment en zone de mélange. Dans la thuriféraie pure, la progression des ligneux autres semble se stabiliser en 2010. Lien pérenne : DOI : 10.3406/ecmed.2013.1294 Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=142806
in Ecologia Mediterranea > 39 (1) (2013) . - 81-88Cambecèdes, Jocelyne, Samhat, Philippe, Fallour-Rubio, Delphine, Candy, Fabien, Gauquelin, Thierry (1954-) 2013 Quel avenir pour la thuriféraie pyrénéenne de la montagne de Rié (Marignac, France), après l’incendie de 2003 ? Suivi de la structure et de la dynamique de la population. Ecologia Mediterranea, 39(1): 81-88.Exemplaires (1)
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Article (2013)Adobe Acrobat PDF Elimination of cone and seed pests by wildfire opened a five-year regeneration window in a non-regenerating incensejuniper (Juniperus thurifera L.) stand / Alain Roques in Ecologia Mediterranea, 39 (1) (2013)
[article]
Titre : Elimination of cone and seed pests by wildfire opened a five-year regeneration window in a non-regenerating incensejuniper (Juniperus thurifera L.) stand Type de document : Imprimé Auteurs : Alain Roques (1951-) ; Jocelyne Cambecèdes ; Delphine Fallour-Rubio ; Jean-Paul Raimbault ; Philippe Lorme ; Marie-Anne Auger Rozenberg Année de publication : 2013 Article en page(s) : 89-98 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Juniperus thurifera L., 1753 Résumé : L’évolution du potentiel de régénération naturelle de la population pyrénéenne relique de Juniperus thurifera de la montagne de Rié (Haute-Garonne, France) a été surveillée de 2001 à 2011, avant et après l’incendie qui a détruit une large partie de ce peuplement en 2003. La production de galbules, leur état sanitaire de la floraison à la maturité, et le nombre de graines viables résultantes ont été mesurés chaque année sur les dix mêmes branches de dix arbres différents. Avant l’incendie, l’impact conjugué du chalcidien des graines, Megastigmus thuriferana, et des acariens des galbules, Trisetacus quadrisetus, réduisait de manière drastique le potentiel de régénération naturelle du Genévrier thurifère, avec seulement 25 à 55 graines pleines tombant au sol en moyenne par arbre. L’incendie de 2003, survenu pendant une période où les ravageurs ne pouvaient s’échapper des galbules, a conduit à l’élimination complète de leurs populations sur le site. Après une année de reprise sans floraison, l’absence des ravageurs s’est traduite par une augmentation significative du potentiel de régénération du thurifère par rapport à la situation prévalant avant l’incendie. Malgré des variations interannuelles de fructification, plus de 200 graines pleines sont tombées en moyenne au sol par arbre fructifère en 2006 et en 2009, soit de quatre à dix fois plus qu’en 2002-2003. La recolonisation du site par les chalcidiens et acariens n’a commencé qu’à l’été 2008, probablement à partir de populations voisines de J. thurifera (chalcidiens) ou J. communis (acariens). Malgré une augmentation progressive des populations de ravageurs, les dégâts restent concentrés jusqu’à maintenant sur moins de dix arbres. L’incendie paraît avoir ainsi joué un rôle régulateur sur la prédation des graines par les ravageurs, avec l’apparition d’une fenêtre de régénération de l’ordre de cinq années comme l’attestent les nombreuses jeunes plantules apparues sur le site après l’incendie. Lien pérenne : DOI : 10.3406/ecmed.2013.1295 / HAL : hal-02642234 Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=142807
in Ecologia Mediterranea > 39 (1) (2013) . - 89-98Roques, Alain (1951-), Cambecèdes, Jocelyne, Fallour-Rubio, Delphine, Raimbault, Jean-Paul, Lorme, Philippe, Auger Rozenberg, Marie-Anne 2013 Elimination of cone and seed pests by wildfire opened a five-year regeneration window in a non-regenerating incensejuniper (Juniperus thurifera L.) stand. Ecologia Mediterranea, 39(1): 89-98.Exemplaires (1)
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Article (2013)URL Toponimia relacionada con sabinas y enebros (Gén. Juniperus) en la España peninsular. Primera aproximación / Luis Villar in Ecologia Mediterranea, 39 (1) (2013)
[article]
Titre : Toponimia relacionada con sabinas y enebros (Gén. Juniperus) en la España peninsular. Primera aproximación Type de document : Imprimé Auteurs : Luis Villar (1946-) ; Mario Sanz Année de publication : 2013 Article en page(s) : 137-152 Langues : Français (fre) Catégories : [CBNPMP-Géographique] Espagne
[CBNPMP-Thématique] TaxonomieMots-clés : Juniperus thurifera L., 1753 Juniperus sect.Sabina Juniperus phoenicea L., 1753 Juniperus sabina L., 1753 Résumé : Le genre Juniperus comprend onze taxons ibériques (sept à feuilles piquantes et quatre à feuilles en écaille). En Espagne, seul J. thurifera L. couvre beaucoup plus de 100 000 ha mais les genévriers se distribuent depuis 0 m jusqu’à 3 000 m d’altitude. Les junipéraies constituent des habitats prioritaires au niveau européen et de nombreux sites d’intérêt communautaire (SIC) portent leurs noms. Ces espèces ligneuses très utiles possèdent des dizaines de noms vernaculaires, parmi lesquels des synonymes et noms polysémiques. Surtout pour la Castille et l’Aragon, on retrouve ainsi beaucoup des toponymes «juniperains» individuels ou collectifs et nous en avons recensé 432 basés sur les espèces de la section Sabina, J. phoenicea, J. sabina et J. thurifera. À coté du nom de lieu nous avons noté les noms scientifiques des espèces concernées, la localité, province et région. Du point de vue ethnobotanique, les toponymes étudiés viennent indiquer une référence géographique, leur utilisation (bois, alimentation des herbivores, abri, etc.) ou d’autres caractéristiques. Même si, aujourd’hui, certains de ces usages sont en train de se perdre, les phytotoponymes persistent et nous rappellent l’intégration ancienne de l’homme dans son environnement. Leur étude peut nous aider à mieux comprendre l’exploitation ancienne de leurs formations forestières, leur situation actuelle et même leur évolution future. Lien pérenne : DOI : 10.3406/ecmed.2013.1301 Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=151394
in Ecologia Mediterranea > 39 (1) (2013) . - 137-152Villar, Luis (1946-), Sanz, Mario 2013 Toponimia relacionada con sabinas y enebros (Gén. Juniperus) en la España peninsular. Primera aproximación. Ecologia Mediterranea, 39(1): 137-152.Exemplaires (1)
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