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Création d’un outil permettant la hiérarchisation de projets de restauration écologique en Occitanie / Timothé Courteille (2022)
Titre : Création d’un outil permettant la hiérarchisation de projets de restauration écologique en Occitanie Type de document : Électronique Auteurs : Timothé Courteille Editeur : Université de Montpellier Année de publication : 2022 Importance : 58 p. Langues : Français (fre) Catégories : [CBNPMP-Géographique] Occitanie
[CBNPMP-Thématique] Restauration des écosystèmesRésumé : Devant le constat de l’érosion de la biodiversité à l’échelle mondiale, l’approche de la restauration écologique se présente comme un moyen concret de rendre leurs fonctionnalités aux milieux naturels. Dans cette optique, la DREAL Occitanie a lancé en 2020 le programme « 5 sites de restauration par département ». Pour assurer la qualité de l’action restauratrice, un outil de hiérarchisation de projets de restauration écologique en Occitanie a été créé. Il se présente sous la forme d’une grille de critères et a été conçu grâce à une base de recherches bibliographiques et selon les avis du CBNPMP, du CSRPN, de certaines DDT et de l’OFB. Il vise à analyser les projets de restauration écologique dans l’optique d’attribuer, ou non, les financements nécessaires à leur réalisation. Cet te analyse s’effectue à travers plusieurs axes : la faisabilité des projets, la durabilité de la restauration, la responsabilité patrimoniale, ainsi que la fonctionnalité et l’attractivité du milieu. Chacun de ces indicateurs se voit attribuer une note qui permet de rendre compte des forces et des faiblesses des projets. Chaque projet a également une note totale : plus celle ci est élevée, plus le financement a de chances d’aboutir. Cependant, pour permettre le bon fonctionnement de l’outil, il est important de prendre en compte plusieurs paramètres : le maximum de renseignements doit être fourni et les objectifs de la restauration doivent être définis à l’avance. Ce travail est également à mettre en lien avec celui réalisé par Jade Bergougnoux, qui vise à trouver des sources de financement alternatifs pour assurer la restauration écologique, ainsi qu’avec d’autres travaux scientifiques. Note de contenu : Mémoire de stage de fin d'études Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=148753 Courteille, Timothé , 2022. Création d’un outil permettant la hiérarchisation de projets de restauration écologique en Occitanie. Université de Montpellier, [S.l.]. 58 pp.Documents numériques
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Mémoire de stage (2022)Adobe Acrobat PDF Etat des connaissances sur les bioindicateurs fongiques : approche stratifiée par guilde écologique et opérationnalité pour la gestion des écosystèmes forestiers méditerranééens / Chloé Barthalon (2022)
Titre : Etat des connaissances sur les bioindicateurs fongiques : approche stratifiée par guilde écologique et opérationnalité pour la gestion des écosystèmes forestiers méditerranééens Type de document : Électronique Auteurs : Chloé Barthalon Editeur : Université de Montpellier Année de publication : 2022 Importance : 37 p. Langues : Français (fre) Catégories : [CBNPMP-Thématique] Champignons Résumé : Les forêts françaises sont en majeure partie exploitées pour leurs ressources, en faisant un enjeu économique mais aussi pour la conservation des organismes. Les champignons du saproxyliques et les champignons ectomycorhiziens répondent aux pratiques de gestion forestière comme la diminution du couvert ou les coupes rases. L’étude a consisté en un état des connaissance sur les bioindicateurs fongiques et leur utilisation quant aux modalités de gestion forestière en Méditerranée. Il repose sur un état des lieux de la bibliographie proposant des candidats à la bioindication et des entretiens avec des experts mycologue tels que des taxonomistes et des mycologues héraultais connaissant bien la fonge méditerranéenne. Les résultats mettent en valeur certains genres tels que Fomes avec le Fomes fomentarius, témoin d’un changement dans la pensée des gestionnaires, mais aussi Phellinus et Xylobolus. Ils offrent une piste abordable pour former les forestiers à la reconnaissance mais sont insuffisant pour produire un outil de diagnostic à part entière. L’entrée bois mort reste la principale caractéristique à prendre en compte bien qu’elle ne renseigne pas sur la continuité écologique. Finalement avec la démocratisation de l’outil moléculaire de nouvelles perspectives de diagnostic s’offrent pour la gestion de l’écosystème forestier. Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=148611 Barthalon, Chloé , 2022. Etat des connaissances sur les bioindicateurs fongiques : approche stratifiée par guilde écologique et opérationnalité pour la gestion des écosystèmes forestiers méditerranééens. Université de Montpellier, [S.l.]. 37 pp.Documents numériques
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Rapport (2022)Adobe Acrobat PDF « Les plantes sont immobiles et attendent qu’on vienne les compter » : confronter mesures in situ et simulations numériques pour améliorer les méthodes de suivi des populations de plantes / Jan Perret (2023)
Titre : « Les plantes sont immobiles et attendent qu’on vienne les compter » : confronter mesures in situ et simulations numériques pour améliorer les méthodes de suivi des populations de plantes Type de document : Électronique Auteurs : Jan Perret Editeur : Université de Montpellier Année de publication : 2023 Catégories : [CBNPMP-Thématique] Conservation et gestion des espèces
[CBNPMP-Thématique] Stratégie de conservation in situRésumé : Les suivis de population jouent un rôle central dans la conservation de la biodiversité. Ils permettent d’estimer les tailles et les tendances des populations, deux informations cruciales pour identifier les populations menacées d’extinction, comprendre les causes de leur déclin, puis tester et valider des moyens pour enrayer ce phénomène. Cependant, l’efficacité des suivis est controversée, notamment car ils souffrent de problèmes méthodologiques récurrents qui peuvent les empêcher de fournir des estimations précises et non-biaisées des tailles et des tendances de population. Cela semble être particulièrement le cas pour les suivis de populations de plantes, notamment car la prise en compte des erreurs d’observation, l’une des principales sources d’erreurs des suivis de population, semble très rare. En outre, réduire l’incertitude des estimations et s’assurer qu’elles ne sont pas biaisées permet de réduire le risque de commettre des erreurs de décision, qui peuvent avoir pour conséquence la mise en œuvre de mesures de conservation inefficaces voire néfastes. L’objectif général de mon doctorat était d’améliorer les méthodes de suivi des populations de plantes afin qu’elles puissent fournir des estimations non biaisées et plus précises des tailles et des tendances de population. Pour cela, je me suis intéressé aux deux principaux problèmes méthodologiques des suivis de population : d’une part les plans d’échantillonnage, et d’autre part les erreurs d’observation, et plus spécifiquement la détection imparfaite. Mes travaux se sont déroulés selon trois axes.Le premier axe a consisté à réaliser une synthèse de la littérature sur les méthodes de suivi des populations de plantes. J’ai structuré cette synthèse selon les deux principaux défis des suivis de population, c’est-à-dire l’échantillonnage et la prise en compte des erreurs d’observation, et selon les deux échelles où les suivis peuvent être réalisés, c’est-à-dire au niveau de la population dans son ensemble ou au niveau des individus qui la constituent. Grâce à ce travail de synthèse, j’ai pu identifier les sujets de recherche méthodologique prioritaires pour améliorer les suivis, et mettre en lumière les différences entre les lacunes de développement méthodologique et les manques de mise en œuvre de méthodes déjà existantes. Dans le deuxième axe, j’ai utilisé des simulations numériques pour comparer la précision des estimations de taille de population obtenues avec trois méthodes d’échantillonnage différentes pour des populations dont les individus étaient plus ou moins spatialement agrégées. L’agrégation spatiale est une caractéristique courante des populations de plantes, et cela rend les estimations de taille de population moins précises par rapport à des populations spatialement homogènes. Les simulations m’ont permis de mettre en évidence d’importantes différences de précision entre les méthodes d’échantillonnage, et ainsi de proposer une méthode pour améliorer la précision des estimations en adaptant le plan d’échantillonnage au niveau d’agrégation de la population étudiée.L’objectif du troisième axe était de vérifier que la détection des individus était imparfaite dans le cadre de comptages d’individus non marqués, ce qui n’avait pas encore été montré formellement. Pour cela, j’ai réalisé une expérimentation au cours de laquelle un grand nombre d’observateurs ont compté des individus de plantes de différentes espèces dans différents habitats et avec plusieurs méthodes de comptage. Les résultats ont montré que la détection des individus était effectivement imparfaite, ainsi que de décrire l’effet des principales variables écologiques et observationnelles sur la probabilité de détection des individus. En outre cela a permis de donner des recommandations pour réduire la variabilité des comptages en adaptant la méthode d'observation aux conditions de l’étude. Lien pérenne : HAL : tel-04232734 Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=152025 Perret, Jan , 2023. « Les plantes sont immobiles et attendent qu’on vienne les compter » : confronter mesures in situ et simulations numériques pour améliorer les méthodes de suivi des populations de plantes. Université de Montpellier, [S.l.].Documents numériques
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Thèse (2023)URL