Résultat de la recherche
4 recherche sur le mot-clé 'Claytonia'
Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
Erratum : Etude cyto-écologique de quatre populations de Claytonia caroliniana var. caroliniana au Québec / Camille Gervais (1982)
Titre : Erratum : Etude cyto-écologique de quatre populations de Claytonia caroliniana var. caroliniana au Québec Type de document : Tiré à part de revue Auteurs : Camille Gervais (1933-2002) ; Miroslav M. Grandtner (1928-2013) Année de publication : 1982 Importance : 1284 Langues : Français (fre) Catégories : [CBNPMP-Thèmes] Morphologie, anatomie, histologie, cytologie, reproduction de la cellule, embryologie, embryogenèse
[CBNPMP-Géographique] QuébecMots-clés : Claytonia Résumé : Quatre populations du Québec de Claytonia caroliniana var. caroliniana, situées chacune dans un domaine phytosociologique différent, ont été étudiées du point de vue écologique et cytologique. Les plantes du mont Logan (étage subalpin) se sont montrées stables (n = 8 ou 2n = 16, nombre habituel de cette espèce). Les trois autres populations (domaines de l'érablière) possédaient des proportions variables (10–50%) de nombres chromosomiques anormaux: n = 9, 10, 11, 15, 19, 20 et 2n = 17, 25. Ces nombres pourraient s'expliquer (1) par la formation de gamètes diploïdes, (2) par la naissance d'individus triploïdes, (3) par la présence de chromosomes B. Les pourcentages d'anomalies dans les fleurs sont plus élevés que dans les racines mais suivent des courbes parallèles, ce qui indique une influence perturbatrice de facteurs du milieu ou de facteurs génétiques sur le développement des hampes, ou des fleurs, ou sur la sporogénèse. Les plantes à nombre anormal observées paraissent être, dans l'échantillon, des cytotypes occasionnels plutôt qu'appartenir à de véritables races chromosomiques. De plus, il ne semble pas y avoir de caractères morphologiques permettant de les reconnaître ou de distinguer les populations des différents milieux étudiés. Les fréquences d'anomalies dans les fleurs paraissent liées aux stations (χ2 = 8,75, df = 3). Des essais de corrélation révèlent aussi que le drainage et la précipitation d'avril ou mai (r = 1,000, α = 0,05), en particulier, pourraient éventuellement être mis en rapport avec les accidents chromosomiques et l'évolution cytologique des populations en affectant la sporogénèse qui a lieu lorsque les hampes florales atteignent la surface du sol. De telles corrélations sont, bien entendu, extrêmement hypothétiques à cause du faible nombre de données utilisées; elles devront être appuyées par beaucoup plus de comptages chromosomiques et de mesures micro-écologiques et (ou) par des données expérimentales. Cependant, l'ensemble de ces observations montre que C. caroliniana est sujet à des variations cytologiques également dans la partie nord-est de son aire et que son comportement est similaire à celui du C. virginica. Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=133499 Gervais, C., Grandtner, MM. 1982. Erratum : Etude cyto-écologique de quatre populations de Claytonia caroliniana var. caroliniana au Québec. Canadian journal of botany : 1284.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 19012 Gervais C. Tiré à part Centre de documentation Tirés à part Consultable Essai de corrélation entre l'humidité du sol et les anomalies chromosomiques dans une population de Claytonia caroliniana var. caroliniana / Camille Gervais (1983)
Titre : Essai de corrélation entre l'humidité du sol et les anomalies chromosomiques dans une population de Claytonia caroliniana var. caroliniana Type de document : Tiré à part de revue Auteurs : Camille Gervais (1933-2002) ; Miroslav M. Grandtner (1928-2013) Année de publication : 1983 Importance : 2969-2978 Langues : Français (fre) Catégories : [CBNPMP-Thèmes] Caryologie, degré de ploïdie, nombre de chromosomes
[CBNPMP-Thèmes] Relations climat-végétationMots-clés : Claytonia Résumé : L'humidité du sol et les nombres chromosomiques ont été examinés dans une station de Claytonia caroliniana var. caroliniana de la montagne de Stoneham, Québec, dans laquelle une étude précédente avait indiqué une forte proportion d'accidents chromosomiques. L'humidité du sol est liée de façon significative (F = 44,92*) avec le relief, en particulier au début de mai (F = 36,86**) mais ne présente pas de corrélation évidente avec les anomalies chromosomiques. Une certaine corrélation se dessine toutefois entre le relief et les anomalies chromosomiques (r = 0,54). Le pourcentage total de nombres chromosomiques anormaux observés reste sensiblement le même (45% contre 50% en 1979) et, comme précédemment, il paraît surtout dû à la présence de chromosomes B. L'existence des nombre chromosomiques différents, dans les tissus des racines d'une part et ceux des pédicelles et des fleurs d'autre part, a pu être confirmée dans deux cas. Comme les anomalies s'observent déjà dans les tissus somatiques des jeunes pédicelles, leur apparition pourrait avoir lieu au moment de la formation des primordiums qui se produit peut-être au cours de l'été alors que le sol semble moins humide. Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=133496 Gervais, C., Grandtner, MM. 1983. Essai de corrélation entre l'humidité du sol et les anomalies chromosomiques dans une population de Claytonia caroliniana var. caroliniana. Canadian journal of botany, 61 : 2969-2978.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 19007 Gervais C. Tiré à part Centre de documentation Tirés à part Consultable Etude cyto-écologique de quatre populations de Claytonia caroliniana var. caroliniana au Québec / Camille Gervais (1981)
Titre : Etude cyto-écologique de quatre populations de Claytonia caroliniana var. caroliniana au Québec Type de document : Tiré à part de revue Auteurs : Camille Gervais (1933-2002) ; Miroslav M. Grandtner (1928-2013) Année de publication : 1981 Importance : 1685-1701 Langues : Français (fre) Catégories : [CBNPMP-Thèmes] Morphologie, anatomie, histologie, cytologie, reproduction de la cellule, embryologie, embryogenèse
[CBNPMP-Géographique] QuébecMots-clés : Claytonia Résumé : Quatre populations du Québec de Claytonia caroliniana var. caroliniana, situées chacune dans un domaine phytosociologique différent, ont été étudiées du point de vue écologique et cytologique. Les plantes du mont Logan (étage subalpin) se sont montrées stables (n = 8 ou 2n = 16, nombre habituel de cette espèce). Les trois autres populations (domaines de l'érablière) possédaient des proportions variables (10–50%) de nombres chromosomiques anormaux: n = 9, 10, 11, 15, 19, 20 et 2n = 17, 25. Ces nombres pourraient s'expliquer (1) par la formation de gamètes diploïdes, (2) par la naissance d'individus triploïdes, (3) par la présence de chromosomes B. Les pourcentages d'anomalies dans les fleurs sont plus élevés que dans les racines mais suivent des courbes parallèles, ce qui indique une influence perturbatrice de facteurs du milieu ou de facteurs génétiques sur le développement des hampes, ou des fleurs, ou sur la sporogénèse. Les plantes à nombre anormal observées paraissent être, dans l'échantillon, des cytotypes occasionnels plutôt qu'appartenir à de véritables races chromosomiques. De plus, il ne semble pas y avoir de caractères morphologiques permettant de les reconnaître ou de distinguer les populations des différents milieux étudiés. Les fréquences d'anomalies dans les fleurs paraissent liées aux stations (χ2 = 8,75, df = 3). Des essais de corrélation révèlent aussi que le drainage et la précipitation d'avril ou mai (r = 1,000, α = 0,05), en particulier, pourraient éventuellement être mis en rapport avec les accidents chromosomiques et l'évolution cytologique des populations en affectant la sporogénèse qui a lieu lorsque les hampes florales atteignent la surface du sol. De telles corrélations sont, bien entendu, extrêmement hypothétiques à cause du faible nombre de données utilisées; elles devront être appuyées par beaucoup plus de comptages chromosomiques et de mesures micro-écologiques et (ou) par des données expérimentales. Cependant, l'ensemble de ces observations montre que C. caroliniana est sujet à des variations cytologiques également dans la partie nord-est de son aire et que son comportement est similaire à celui du C. virginica. Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=133495 Gervais, C., Grandtner, MM. 1981. Etude cyto-écologique de quatre populations de Claytonia caroliniana var. caroliniana au Québec. Canadian journal of botany, 59 : 1685-1701.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 19006 Gervais C. Tiré à part Centre de documentation Tirés à part Consultable Extrême précocité et conditions thermiques du développement apical et floral chez Claytonia caroliniana var. caroliniana / Miroslav M. Grandtner (1985)
Titre : Extrême précocité et conditions thermiques du développement apical et floral chez Claytonia caroliniana var. caroliniana Type de document : Tiré à part de revue Auteurs : Miroslav M. Grandtner (1928-2013) ; Camille Gervais (1933-2002) Année de publication : 1985 Importance : 1516-1520 Langues : Français (fre) Catégories : [CBNPMP-Thèmes] Relations climat-végétation Mots-clés : Claytonia Résumé : La température du sol et le développement apical et floral de Claytonia caroliniana var. caroliniana ont été étudiés dans une érablière de la montagne de Stoneham, Québec. L'activité apicale cellulaire débute au commencement de mai alors que les hampes florales de l'année sont présentes. Dès le début de juillet, l'allongement apical externe devient perceptible. Au commencement d'août, soit 9 mois avant la floraison, des structures foliaires et florales de l'année suivante sont déjà présentes dans le sol. La méiose se produit au début d'octobre et la première mitose pollinique au milieu du même mois. Dès ce moment, des individus sans chlorophylle, bien développés, sont présents sous la litière. Ils peuvent verdir et atteindre la surface de la litière en novembre ou décembre, pour y passer l'hiver sous la neige à une température variant entre 0 et −4 °C. Ce type de comportement les rapproche des hémicryptophytes. La période de croissance épigée active débute vers la mi-avril, à la fonte des neiges. À ce moment, on observe la deuxième mitose pollinique, suivie de la floraison, de la fructification, de la dissémination et de la disparition de la portion aérienne de la plante. D'éventuelles études cyto-écologiques en vue de vérifier l'influence possible des facteurs du milieu sur l'apparition d'anomalies chromosomiques dans les primordiums devraient donc avoir lieu au cours de l'année précédant la floraison de la claytonie. Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=133498 Grandtner, MM., Gervais, C. 1985. Extrême précocité et conditions thermiques du développement apical et floral chez Claytonia caroliniana var. caroliniana. Canadian journal of botany, 63(12) : 1516-1520.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 19011 Gervais C. Tiré à part Centre de documentation Tirés à part Consultable