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Vivre dans des conditions difficiles en falaise : potentialités et longévité du genévrier de Phénicie (Juniperus phoenicea L.) / Coralie Mathaux (2017)
Titre : Vivre dans des conditions difficiles en falaise : potentialités et longévité du genévrier de Phénicie (Juniperus phoenicea L.) Type de document : Électronique Auteurs : Coralie Mathaux Editeur : Aix-Marseille Université Année de publication : 2017 Importance : 384 p. Langues : Français (fre) Catégories : [CBNPMP-Thèmes] Végétation chasmophyte des pentes rocheuses et falaises Mots-clés : Juniperus phoenicea L., 1753 Résumé : Les falaises sont les derniers écosystèmes vierges de la zone tempérée. Elles représentent un réservoir de biodiversité et un refuge pour de nombreuses espèces végétales et peuvent abriter des espèces longévives. Dans le bassin méditerranéen, la rareté des populations anciennes et naturelles et même celle d'arbres isolés qui atteignent des âges importants s'explique par l'existence d'une pression anthropique forte depuis environ 10 000 ans. Pourtant, dans les gorges de l'Ardèche (sud de la France), des populations de Juniperus phoenicea en falaise présentent toutes les classes d'âges y compris des individus millénaires. Les falaises abritent de façon régulière des vieux arbres qui peuvent être identifiés à l'aide de critères morphologiques visuels. Néanmoins, les parois rocheuses imposent aux arbres qui s'y développent des contraintes importantes liées à la verticalité et à la compacité du substrat. Le sol y est absent ou très réduit et cela entraîne un apport en eau et en nutriments qui peut également être limité. De plus, la verticalité du milieu entraîne de nombreuses chutes de pierres qui blessent ou tuent les arbres. Les genévriers de Phénicie qui colonisent ces milieux très contraignants, répondent à cette pression par un très faible taux de croissance, une mortalité partielle de l'appareil aérien et du cambium, des caractéristiques morphologiques foliaires adaptées à la sécheresse, une capacité à utiliser l'eau des brouillards et des petites pluies qui mouillent uniquement le feuillage et ils possèdent également des communautés de champignons mycorhiziens à arbuscules adaptées à ce milieu et ce tout en pouvant atteindre des longévités exceptionnelles. Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=83730 Mathaux, C. 2017. Vivre dans des conditions difficiles en falaise : potentialités et longévité du genévrier de Phénicie (Juniperus phoenicea L.). Aix-Marseille Université, [S.l.]. 384 pp.Documents numériques
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Thèse (2017)Adobe Acrobat PDF Toponimia relacionada con sabinas y enebros (Gén. Juniperus) en la España peninsular. Primera aproximación / Luis Villar in Ecologia Mediterranea, 39 (1) (2013)
[article]
Titre : Toponimia relacionada con sabinas y enebros (Gén. Juniperus) en la España peninsular. Primera aproximación Type de document : Imprimé Auteurs : Luis Villar (1946-) ; Mario Sanz Année de publication : 2013 Article en page(s) : 137-152 Langues : Français (fre) Catégories : [CBNPMP-Géographique] Espagne
[CBNPMP-Thèmes] TaxonomieMots-clés : Juniperus thurifera L., 1753 Juniperus sect.Sabina Juniperus phoenicea L., 1753 Juniperus sabina L., 1753 Résumé : Le genre Juniperus comprend onze taxons ibériques (sept à feuilles piquantes et quatre à feuilles en écaille). En Espagne, seul J. thurifera L. couvre beaucoup plus de 100 000 ha mais les genévriers se distribuent depuis 0 m jusqu’à 3 000 m d’altitude. Les junipéraies constituent des habitats prioritaires au niveau européen et de nombreux sites d’intérêt communautaire (SIC) portent leurs noms. Ces espèces ligneuses très utiles possèdent des dizaines de noms vernaculaires, parmi lesquels des synonymes et noms polysémiques. Surtout pour la Castille et l’Aragon, on retrouve ainsi beaucoup des toponymes «juniperains» individuels ou collectifs et nous en avons recensé 432 basés sur les espèces de la section Sabina, J. phoenicea, J. sabina et J. thurifera. À coté du nom de lieu nous avons noté les noms scientifiques des espèces concernées, la localité, province et région. Du point de vue ethnobotanique, les toponymes étudiés viennent indiquer une référence géographique, leur utilisation (bois, alimentation des herbivores, abri, etc.) ou d’autres caractéristiques. Même si, aujourd’hui, certains de ces usages sont en train de se perdre, les phytotoponymes persistent et nous rappellent l’intégration ancienne de l’homme dans son environnement. Leur étude peut nous aider à mieux comprendre l’exploitation ancienne de leurs formations forestières, leur situation actuelle et même leur évolution future. Lien pérenne : DOI : 10.3406/ecmed.2013.1301 Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=151394
in Ecologia Mediterranea > 39 (1) (2013) . - 137-152Villar, L., Sanz, M. 2013. Toponimia relacionada con sabinas y enebros (Gén. Juniperus) en la España peninsular. Primera aproximación. Ecologia Mediterranea, 39(1): 137-152.Exemplaires (1)
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Article (2013)Adobe Acrobat PDF