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Plantes subspontanées, naturalisées, envahissantes |
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The biology of Canadian weeds. 84. Oenothera biennis L. / Ivan V. Hall in Canadian Journal of Plant Science, 68 (1988)
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Titre : The biology of Canadian weeds. 84. Oenothera biennis L. Type de document : Imprimé Auteurs : Ivan V. Hall ; Erich Steiner ; Paul Threadgill ; Richard W. Jones Année de publication : 1988 Article en page(s) : 163-173 Langues : Anglais (eng) Catégories : [CBNPMP-Géographique] Canada
[CBNPMP-Thèmes] Plantes subspontanées, naturalisées, envahissantesMots-clés : Oenothera biennis L., 1753 Résumé : Oenothera biennis L., l’onagre bisannuelle commune, est une mauvaise herbe répandue le long des routes et dans les terrains vagues qui se rencontre couramment en sols sableux légers ou graveleux où la concurrence est limitée. L’espèce est originaire d’Amérique du Nord et bien qu’elle se rencontre dans les dix provinces canadiennes, elle est plus commune dans l’Est que dans l’Ouest. Le principal facteur qui contribue à son succès comme mauvaise herbe est son aptitude à tolérer la sécheresse. Annuelle d’hiver ou bisannuelle facultative, elle fleurit et monte à la graine une seule fois au cours de son existence. Les petites graines de forme irrégulière ont une forte teneur en huile et contiennent de l’acide gamma-linolénique, acide gras rare qui présente une valeur pharmaceutique. Oenothera biennis est un hétérozygote de translocation génétiquement stable composé de deux génomes (complexes) qui diffèrent au point de vue des gènes et de l’agencement final des chromosomes. Les populations de O. biennis se composent de nombreuses lignées consanguines qui permettent une hybridation limitée. Lien pérenne : DOI : 10.4141/cjps88-016 Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=146697
in Canadian Journal of Plant Science > 68 (1988) . - 163-173Hall, IV., Steiner, E., Threadgill, P., Jones, RW. 1988. The biology of Canadian weeds. 84. Oenothera biennis L. Canadian Journal of Plant Science, 68: 163-173.Documents numériques
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Article (1988)URLThe biology of Canadian weeds. 88. Elodea canadensis Michx. / K.W. Spicer in Canadian Journal of Plant Science, 68 (1988)
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Titre : The biology of Canadian weeds. 88. Elodea canadensis Michx. Type de document : Imprimé Auteurs : K.W. Spicer ; Paul M. Catling Année de publication : 1988 Article en page(s) : 1035-1051 Langues : Anglais (eng) Catégories : [CBNPMP-Géographique] Canada
[CBNPMP-Thèmes] Plantes subspontanées, naturalisées, envahissantesMots-clés : Elodea canadensis Michx., 1803 Résumé : Cette étude monographique porte sur l’élodée du Canada (Elodea canadensis Michx.). Cette plante aquatique submergée forme des tapis végétaux denses qui entravent la navigation et restreignent les loisirs aquatiques dans le sud du Québec et de l’Ontario, ainsi qu’en Colombie-Britannique et en Alberta. Dans certaines régions, ces tapis denses réduisent l’efficience de l’agriculture irriguée. Originaire d’Amérique du Nord, l’élodée s’est récemment répandue dans d’autres parties du monde, notamment l’Europe, l’Asie, l’Afrique du Sud, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. L’élodée est utile pour fournir nourriture et couvert aux insectes et à d’autres petits organismes aquatiques, et augmente du fait même la disponibilité d’aliments pour les poissons et les canards. Elle montre également certaines possibilités comme source d’aliments et de fourrage à cause de sa valeur nutritive relativement élevée. L’élodée abonde dans les eaux claires alcalines et riches en substances nutritives. Les teneurs en phosphore de la plante servent d’indicateur des tendances à l’enrichissement des plans d’eau en éléments nutritifs. Les substances nutritives restrictives comprennent le bicarbonate et le fer. Même si la grenaison est rare, la dispersion des apex dormants et des fragements de tiges par l’eau et la sauvagine peut entraîner une dissémination rapide. Les moyens de lutte mécaniques, notamment des bateaux-faucheurs, sont les méthodes préférées de gestion de l’élodée, mais il faut bien récupérer le matériel fauché car chaque fragment muni d’un bourgeon auxiliaire ou terminal peut reformer une nouvelle plante. La lutte biologique à l’aide de poissons phytophages stériles constitue une avenue de recherche prometteuse. Lien pérenne : DOI : 10.4141/cjps88-125 Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=146689
in Canadian Journal of Plant Science > 68 (1988) . - 1035-1051Spicer, KW., Catling, PM. 1988. The biology of Canadian weeds. 88. Elodea canadensis Michx. Canadian Journal of Plant Science, 68: 1035-1051.Documents numériques
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Article (1988)URLThe biology of Canadian weeds. 90. Abutilon theophrasti / Suzanne I. Warwick in Canadian Journal of Plant Science, 68 (1988)
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Titre : The biology of Canadian weeds. 90. Abutilon theophrasti Type de document : Imprimé Auteurs : Suzanne I. Warwick ; L. D. Black Année de publication : 1988 Article en page(s) : 1069-1085 Langues : Anglais (eng) Catégories : [CBNPMP-Géographique] Canada
[CBNPMP-Thèmes] Plantes subspontanées, naturalisées, envahissantesMots-clés : Abutilon theophrasti Medik., 1787 Résumé : Abutilon theophrasti Medic. (abutilon) est une mauvaise herbe envahissante dans toutes les principales régions de culture du maïs et du soja de l’Ontario et du Québec. Les auteurs présentent une étude bibliographique sur la biologie de l’espèce. L’abutilon cause des pertes de récolte par la concurrence qu’il exerce, ses effets allélopathiques et le fait qu’il héberge des insectes parasites et des agents pathogènes des cultures. Il possède un certain nombre de caractéristiques qui contribuent à son efficacité comme mauvaise herbe, notamment la production de beaucoup de graines d’une grande viabilité, à dormance prolongée et à germination continue, mais sporadique. Il est difficile à combattre à cause de sa germination sporadique. Les moyens de lutte efficaces comprennent l’application d’herbicides de pré- ou de post-levée, suivie par le travail du sol et d’autres traitements herbicides pour détruire les plants qui ont échappé au traitement et combattre les poussées de germination subséquentes. On a récemment signalé la présence d’un biotype d’abutilon résistant à la triazine dans le nord-est des États-Unis. Lien pérenne : DOI : 10.4141/cjps88-127 Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=146701
in Canadian Journal of Plant Science > 68 (1988) . - 1069-1085Warwick, SI., Black, LD. 1988. The biology of Canadian weeds. 90. Abutilon theophrasti. Canadian Journal of Plant Science, 68: 1069-1085.Documents numériques
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Article (1988)URLThe biology of Canandian weeds. 29. Melilotus alba Desr. and M. offinalis (L.) Lam. / Roy A. Turkington in Canadian Journal of Plant Science, 58 (1978)
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Titre : The biology of Canandian weeds. 29. Melilotus alba Desr. and M. offinalis (L.) Lam. Type de document : Imprimé Auteurs : Roy A. Turkington ; Paul Brethen Cavers (1938-) ; Erika Rempel Année de publication : 1978 Article en page(s) : 523-537 Langues : Anglais (eng) Catégories : [CBNPMP-Géographique] Canada
[CBNPMP-Thèmes] Plantes subspontanées, naturalisées, envahissantesMots-clés : Melilotus officinalis Lam. Melilotus alba Desr. Résumé : Cette étude monographique porte sur le mélilot blanc (Melilotus alba Desr.) et le mélilot jaune (M. officinalis (L.) Lam.) qu’on rencontre comme adventices le long des routes et dans les terrains vagues dans toute la partie sud du Canada. M. alba étend son habitat jusque dans la région du Bouclier canadien et fait preuve d’une grande adaptabilité écologique. Lien pérenne : DOI : 10.4141/cjps78-078 Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=146680
in Canadian Journal of Plant Science > 58 (1978) . - 523-537Turkington, RA., Cavers, P.B., Rempel, E. 1978. The biology of Canandian weeds. 29. Melilotus alba Desr. and M. offinalis (L.) Lam. Canadian Journal of Plant Science, 58: 523-537.Documents numériques
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Article (1978)URLThe Biology of Invasive Alien Plants in Canada. 1. Eriochloa villosa (Thunb.) Kunth / Stephen J. Darbyshire in Canadian Journal of Plant Science, 83 (2003)
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Titre : The Biology of Invasive Alien Plants in Canada. 1. Eriochloa villosa (Thunb.) Kunth Type de document : Imprimé Auteurs : Stephen J. Darbyshire ; Claire E. Wilson ; Stuart K. Allison Année de publication : 2003 Article en page(s) : 987-999 Langues : Anglais (eng) Catégories : [CBNPMP-Géographique] Canada
[CBNPMP-Thèmes] Plantes subspontanées, naturalisées, envahissantesMots-clés : Eriochloa villosa Résumé : L’ériochloé velue (Eriochloa villosa) est une mauvaise herbe annuelle qui a été signalée pour la première fois au Canada en 2000, dans le sud-ouest du Québec. Aux États-Unis, la plante est très nuisible aux grandes cultures dans la région du Midwest, où la lutte s’est avérée à la fois difficile et coûteuse. La croissance végétative est vigoureuse. La production des stolons, en début de saison de croissance, et la ramification des tiges, en fin de saison, assurent que chaque plante occupe, et dissémine ses graines sur, une superficie extensive. Les fleurs cléistogames assurent une bonne grenaison, et les graines sont produites en grand nombre. Il y a une poussée de germination au printemps, mais des graines continuent de germer durant toute la saison de végétation, ce qui permet à certains sujets d’échapper aux mesures de lutte précoces. Les graines sont grosses et peuvent germer et lever à des températures du sol et des profondeurs très diverses. La plante tolère de nombreux herbicides; pour la combattre efficacement dans les écosystèmes agricoles, il faut généralement employer des stratégies intégrées alliant les méthodes mécaniques, cultuelles à des traitements herbicides multiples et échelonnés. Étant donné les caractéristiques biologiques de l’espèce et le fait qu’elle pousse dans plusieurs États limitrophes, elle constitue sans doute un danger potentiel pour l’agriculture dans le sud du Canada, particulièrement dans les régions productrices de maïs et de soja du Québec et d’Ontario. Lien pérenne : DOI : 10.4141/P03-016 Permalink : https://biblio.cbnpmp.fr/index.php?lvl=notice_display&id=147542
in Canadian Journal of Plant Science > 83 (2003) . - 987-999Darbyshire, SJ., Wilson, CE., Allison, SK. 2003. The Biology of Invasive Alien Plants in Canada. 1. Eriochloa villosa (Thunb.) Kunth. Canadian Journal of Plant Science, 83: 987-999.Documents numériques
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Article (2003)URLThe Biology of Invasive Alien Plants in Canada. 7. Cabomba caroliniana A. Gray / Claire E. Wilson in Canadian Journal of Plant Science, 87 (2007)
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PermalinkThe comparison of the potential effect of climate change on the segment growth of Fraxinus ornus, Pinus nigra and Ailanthus altissima on shallow, calcareous soils / Attila Trájer in Applied ecology and environmental research, 14 (3) (2016)
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PermalinkThe Convention on Biological Diversity (CBD)’s Post- 2020 target on invasive alien species – what should it include and how should it be monitored? / Franz Essl in Neobiota, 62 (2020)
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PermalinkThe distribution, impacts and identifi cation of exotic stipoid grasses in Australia / David A. McLaren in Plant Protection Quarterly, 19 (2) (2004)
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PermalinkThe ecology of seed dispersal / Mary F. Willson (2000)
PermalinkPermalinkThe ecosystem resilience approach to control the invasive alien species Australian swamp stonecrop (Crassula helmsii) / Janneke M.M. (van der) Loop in Restoration ecology, 31(3) (2023)
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PermalinkThe EPPO prioritization process for invasive alien plants / Sarah Brunel in Bulletin OEPP, 40 (2010)
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PermalinkThe establishment and spread of alien plant species (Kenophytes) in the flora of Poland / Barbara Tokarska-Guzik (2005)
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PermalinkThe evolution and execution of a plan for invasive weed eradication and control, Rangitoto Island, Hauraki Gulf, New Zeland / S. H. Wotherspoon (2002)
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